Il existe en Allemagne plusieurs communes nommées Buchbach, mais le nom Bouschbacher, rencontré surtout en Moselle, renvoie plutôt à la commune de Bousbach dans ce même département, tout près de la Sarre. <>>> Le nom peut être originaire de deux régions : d'une part les Landes, de l'autre la Marne et l'Oise (variante : Départe). Patronyme surtout porté dans la Somme. Au moyen âge, on appelait marmouset un fou, un bouffon, peut-être un nain comme les rois aimaient en avoir à leurs côtés (au départ, il semble qu'on ait utilisé le mot pour désigner des ornements grotesques et bizarres). Variantes : Miteran, Miterrand, Mitterand. Nom porté dans le Sud-Ouest. Désigne au départ celui qui est de bonne souche, noble (= de bon aire), puis celui qui est bon, bienveillant. Il s'agit au départ d'un toponyme désignant un nom de domaine, et formé sur le nom de personne Mattinius (nom latin ou bien latinisation d'un nom germanique) suivi du suffixe -one(m). Vient du germanique "kamarling", lui-même formé sur le latin "camera" (= chambre). Naillou : Dans tous les cas, Buchy (Bussy) est au départ un nom de domaine gallo-romain formé avec le suffixe -acum. C'est un diminutif de l'ancien français bler, blaire, qui désignait au départ un cheval ayant une tache blanche sur le museau, puis un personnage au visage pâle. Ce village s'appelle ainsi sans doute parce qu'il était au départ habité par des Belges. Beugin : Nom porté dans le Finistère. Communes les plus présentes pour le patronyme "DEPART" sur cette période : Découvrez ci-dessous les arbres généalogiques des utilisateurs de Geneanet qui contiennent le nom de famille "DEPART". Donc, personne originaire de l'une des nombreuses localités portant ce nom.
En savoir plus sur notre politique de confidentialité. Le patronyme est très rare en France. Ils envahirent la Gaule et l'Espagne, mais furent vaincus par les Wisigoths et se dispersèrent ensuite dans toute l'Europe. Bloncourt : Sens du toponyme : sans doute au départ un domaine agricole appartenant à Naevius (nom de personne latin). On trouve l'équivalent Apert en Bretagne (35, 56). Le nom ethnique se transforma alors en nom de baptême, et fut popularisé par plusieurs saints (latin Alanus). Dans tous les cas, Buchy (Bussy) est au départ un nom de domaine gallo-romain formé avec le suffixe -acum. warda). Nom très présent en Seine-Maritime. Nous vous conseillons d'ajouter Geneanet dans la liste des sites à ignorer (par exemple en cliquant sur "Ne rien bloquer sur les pages de ce site" dans le menu de votre bloqueur de publicité). Peut-être est-il plus sage de le rapprocher de Lesca (voir ce nom), ou encore de penser à la langue basque (lexar, variante de lizar = frêne). Vient du castillan mozo (= garçon) qui a donné aussi le nom masculin français mousse. La racine du toponyme est le latin corvus (= corbeau, donc un lieu où il y a beaucoup de corbeaux). Fait partie de noms catalans pour lesquels on a envisagé toutes les hypothèses possibles, même les plus absurdes.
Le mot, qui signifie au départ lieu rocheux (racine préromane quer), est un toponyme très répandu, penser notamment à la vallée du Querol (francisée en Carol). Une autre hypothèse est cependant envisageable : forme contractée de corbillon (petite corbeille), surnom métonymique donné à un fabricant de corbeilles. Mais il semble plus raisonnable d'envisager la déformation d'un autre nom : peut-être le toponyme Marconnelle (nom d'une commune du Pas-de-Calais), mais plus certainement le nom de famille Marcorelle, Marcorelles, présent en Languedoc (surtout département de l'Aude). Désigne celui qui est originaire de Buchy. endobj Variante : Garrigues (Rouergue). Lizeul : Sens du toponyme : sans doute au départ un hydronyme (nom de cours d'eau) formé sur la racine préromane *cosia (= rivière de région montagneuse), ou encore l'occitan cusa (= grotte, caverne). �Tn�b�N�jF���Q-D�=����`�ݛۛg�������0��h7j1�y��h��>���7}2U���ћF����zd��4@�ш� y����G�[�J��k��� Hournon : Le nom de famille est surtout porté dans le Limousin et en Auvergne, mais on le trouve dans de nombreuses autres régions. Nom surtout porté dans la Mayenne. Telle est du moins l'explication que m'a donnée un descendant de cette famille. C'est un. La forme arabe de départ est 'abû-'al-khayr. Airaudo : Parmi les saints portant ce nom, il faut noter saint Eustache, martyr qui serait mort en 118 (il périt avec sa famille enfermé dans un taureau d'airain chauffé à blanc), et saint Eustace, abbé de Luxeuil au VIIe siècle. Eustace, Eustache : Dans les deux cas, hard = dur. Nom fréquent dans l'Ouest (44, 79, 49) ainsi que dans le Limousin. Tout comme la forme voisine Gez, il semble s'agir au départ d'un nom de lieu. On rencontre aussi le nom Barracan dans les Bouches-du-Rhône. Quant à Malsbenden, c'est un toponyme qui signifie prairie marécageuse, selon. Desmoineaux :
Originaire d'une localité s'appelant au départ Buschbach (= la rivière du bois). Menguy : Patronyme assez fréquent dans l'Isère. Il pourrait désigner celui qui jouait de la trompette ou qui fabriquait cet instrument (en ancien français, graile = trompette, le nom vient du latin gracilem, et a sans doute été donné à l'instrument en raison de ses sonorités grêles). �wX�J$m+&9�l�T�3�M� ��hA7�l�Gu�|d��hBo$3�pɼ�����&t���j�ǡ�K,�hBg0�G~�Q�٘����3����9fQ��h�C���l��q0��F?4���F���X�Y(X��uY\0�7��E�MX�9���zc������&˜����|���UR>7ue�)� ���Q茖3��+����J�3a��B�7���ϰ��q���5���$K�~ߝ~&[������&��@�-�q�JX���&є����"2Hչj�hCb�6A�V�O3ݥDR�� c��I��b��F���b����Y"��e#��=. Nom assez rare, rencontré dans l'Oise. À noter cependant que le mot "grelier" est attesté en ancien français pour désigner la grêle, et que souvent les mots commençant par grel- désignent le grillon. A signaler dans les Landes le. C'est sans doute dans ces divers sens locaux qu'il faut trouver la solution. Lescher : La racine de départ est berg = montagne.
On disait à l'époque : des chandelles de bougie. Au départ des mercenaires auxquels les seigneurs confient la garde de leurs donjons et, sans doute, la collecte des redevances auprès des paysans. On trouve par contre Nabas dans les Pyrénées-Atlantiques. Le nom est surtout porté dans la Marne. Le nom, assez rare, est très localisé dans l'Eure. Mais le sens initial ne s'est sans doute pas conservé dans les patronymes. Marembert : Correspondant au substantif catalan mallol ( en occitan malhol = jeune cep de vigne, lat. Nom rencontré dans le Sud-Ouest (81, 46 notamment). Originaire de Cologne. C'est bien sûr une importante ville d'Allemagne, mais c'est aussi le nom de nombreuses localités françaises. Le mot vient de l'arabe, c'est au départ une étoffe de poil de chameau. Quant à Malsbenden, c'est un toponyme qui signifie prairie marécageuse, selon Bahlow (Deutsches Namenlexikon). Nom difficile à localiser, qui semble être au départ un nom de personne d'origine germanique formé sur la racine wara = protection. Au départ, il avait simplement le sens de jeune homme, apprenti. Patronyme breton, au départ l'Autrédou, diminutif d'Autret, un ancien nom de baptême qui semble composé des racines alt (= ami) et ret (= utile).Variantes : Lautrédoux, Lautridou, tous ces noms se rencontrant surtout dans le Finistère. Allain, Alain : Il a également pu désigner un marchand, un banquier, un usurier (professions souvent exercées par des Lombards).
Donc le village situé sur une hauteur, ou encore la partie haute de la ville. Les mots d'une même famille sont construits autour de ce radical, auquel on ajoute un préfixe ou un suffixe. C'est un ancien nom de personne breton, sans doute au départ nom de guerrier, formé sur la racine gleu (= brave), peut-être avec l'élémend -bid (= élan, audace). Très fréquent en Bretagne (22). Etant noble, il n'eut pas le droit de l'épouser. Appert : Garrigue : 3 0 obj Surtout porté dans les Ardennes, présent également dans la Nièvre et le Jura, correspond au nom "chambellan". Départ : L'auteur, s'appuyant sur une mention de 1097 (Johannes Miterannus), estime que Miterannus devrait être au départ un nom de personne germanique. Ancien nom de personne breton, très utilisé au moyen âge comme nom de baptême, qui est formé sur la racine uuic (= combat).
Son sens est incertain. Le nom de famille est présent dans l'ensemble de la France, mais c'est dans l'Ouest qu'il a toujours été le plus répandu, en particulier dans la Loire-Atlantique. Le nom ethnique se transforma alors en nom de baptême, et fut popularisé par plusieurs saints (latin Alanus). Nom basque fréquent dans les Pyrénées-Atlantiques. On rencontre en effet des communes portant ce nom en Belgique, dans la province de Luxembourg et dans celle de Namur. Nom fréquent dans l'Ouest (44, 79, 49) ainsi que dans le Limousin. On trouve par contre Nabas dans les Pyrénées-Atlantiques. On pensera aussi à Bussy, nom de plusieurs communes, notamment dans l'Oise et la Somme, ou encore à Buissy (voir Debuissy).
Hermet :
Il peut s'agir d'un lieu-dit, diminutif de loge, désignant au départ une cabane recouverte de feuillage, une hutte (francique *laubja). Diminutifs : Bobineau (85), Bobineaud (79), Bobinec, Bobinnec (56), Bobinet (85). Cependant, vers le XIIe siècle, on peut penser qu'il avait un sens moins affadi qu'aujourd'hui, et devait désigner un personnage valeureux. - para- (1) est de la famille ; il est tiré de mots empruntés à l’italien, comme parasol et …
Concernant le nom Appert, il faut cependant noter que dans plusieurs généalogies il s'écrit aussi Happert, Appart, notamment en Picardie et dans la Meuse, à rapprocher des noms voisins Hapart et Happart.
Il pourrait s'agir d'un toponyme, renvoyant par exemple à la commune de Nailloux, dans la Haute-Garonne (penser aussi à Naillac, en Dordogne). Maillard :
En France, le patronyme se rencontre surtout dans la Loire-Atlantique et dans le Nord. Nom rencontré dans la Lozère et la Haute-Loire. Le nom semble avoir été aussi utilisé comme nom de baptême. Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. Mais il semble plus raisonnable d'envisager la déformation d'un autre nom : peut-être le toponyme Marconnelle (nom d'une commune du Pas-de-Calais), mais plus certainement le nom de famille Marcorelle, Marcorelles, présent en Languedoc (surtout département de l'Aude). Plus tard, à partir du XIIe siècle, la chevalerie deviendra un ordre auquel on accèdera par le célèbre adoubement, qui transforme le cavalier en noble. C'est dans les Vosges et la Manche qu'il est le plus répandu.